Benoît Huot
Entre l'Ange et la Bête, 5 octobre / 23 novembre 2019 

Caroline Secq
De choses et d'autres, 1er août / 21 septembre 2019

Mathieu Sodore
Omega, 26 juin / 21 juillet 2019

Loïc Guston
Stigmates et Entre-deux, 3 avril / 18 mai 2019

Christian Cailleaux
Bulles de jazz, 8 février / 23 mars 2019

5 octobre / 23 novembre 2019 : exposition Benoît Huot, Entre l'Ange et la Bête

  • Oeuvre de Benoît Huot pour l'exposition "entre l'Ange et la Bête" dans le cadre de "Mont-de-Marsan Sculptures" 2019
  • Oeuvre de Benoît Huot pour l'exposition "entre l'Ange et la Bête" dans le cadre de "Mont-de-Marsan Sculptures" 2019
  • affiche de la triennale 2019 "Mont-de-Marsan Sculptures" sur le thème des Mythes avec le musée Despiau-Wlérick
  • affiche de l'exposition de Benoît Huot, "Entre l'Ange et la Bête"
Exposition proposée dans le cadre de la triennale Mont-de-Marsan Sculptures, en partenariat avec la ville de Mont-de-Marsan et le musée Despiau-Wlérick.

La sculpture de Benoît Huot s’inscrit parfaitement dans le thème retenu par
Mont-de-Marsan Sculptures 2019 : Les Mythes.
Mythologie qui est ici, comme souvent d'ailleurs dans l'histoire de l'humanité, incarnée par des présences animales.

Animaux transfigurés, ici magnifiés, les corps d’animaux empaillés, habillés de soieries, de dentelles et d’accessoires divers aspirent à une nouvelle vie : rêve d’éternité.

Ainsi, depuis Lascaux, en passant par l’Égypte ancienne et l’Antiquité, qu’il s’agisse en tous temps de peuples primitifs ou de ceux que nous attachons à la civilisation, les humains ont toujours placé l'animal au centre de leurs célébrations.

De cette manière, sans doute, espérons-nous parvenir à apaiser notre angoisse antédiluvienne de mortels.

L’animal comme intermédiaire, pour exorciser nos peurs : trophée de chasse dans l’art pariétal, vache sacrée dans l’Inde contemporaine, chat, taureau, crocodile, oiseau momifié dans l’Égypte ancienne, Minotaure dans l’antiquité, taureau de combat dans nos arènes aujourd'hui, tous ces animaux demeurent objets de culte religieux ou païen.

C’est cette tradition qui se déploie dans la production de Benoit Huot, poursuivant cette célébration du vivant, de Lascaux à nos jours.
Portrait photographique de l'artiste Benoît Huot

Né en 1966 à Montbéliard, Benoît Huot vit et travaille à Gray (Franche-Comté).
Il est représenté par la galerie C à Neuchâtel.

 
L’artiste accommode toutes sortes de parures, étoffes et autres bijoux sur des animaux empaillés, chinés dans les brocantes et autre marchés. Benoit Huot construit donc une mythologie personnelle, nourrie par une hybridation de référence.

Il prépare alors ces corps figés par le temps pour une nouvelle vie, par la mise en place d’un rituel, mêlant des influences de diverses civilisations.
Qualifiées par l’artiste de “piège de conscience”, ces œuvres questionnent les notions de vie et de mort, la beauté et la répulsion, la monstruosité et la fascination.
Le divin se devine quand on contemple le travail de Benoît Huot.
 
https://benoithuot.fr

1er août / 21 septembre 2019 : exposition Caroline Secq, De choses et d'autres

Affiche de l'exposition "de choses et d'autres" de Caroline Secq au Centre d'art contemporain Raymond Frabos de Mont-de-Marsan

De l'art d'accommoder les restes !


De choses et d’autres...

« Et bien d’autres choses encore ! Certaines sont plus ou moins reconnaissables, d’autres carrément innommables, plus ou moins morcelées ou écrasées, certaines sont à peine l’ombre de ce qu’elles furent, devenues presque rien, d’autres semblent intactes, juste salées et mâchouillées ce qu’il faut par le temps et les marées.

Mais aussi incroyablement différentes qu’elles soient, toutes ces choses ont la même origine : les plages où je les ramasse.
Finis les coquillages et crustacés, voici maintenant bouteilles, bidons, truc bidules et machin choses, matière première toujours renouvelée dont j’aime la beauté paradoxale.
Avec ces vestiges de notre monde, je compose mes Anthropoplages, des assemblages qui transcendent la nature de leur matériau et invitent à la réflexion sur notre manière de voir et regarder.


Pas seulement.


Ils ouvrent un espace où le monde de nos représentations entre en collision : origine et devenir s’y confrontent, esprit et matière s’y affrontent, rebut et re-beau s’y rencontrent. »

Caroline Secq, mai 2019

Reportage à l’atelier par Arte

Caroline Secq from Caroline Secq on Vimeo.

Extrait du film diffusé dans l'émission Douce France, sur Arte en janvier 2012.
Réalisé par Xavier Lefebvre.


Ce que les autres en disent :

Au bout du voyage

« Non, je ne vois pas dans l’œuvre de Caroline Secq de message de dénonciation de la pollution des mers, je ne vois pas non plus de « récup’art » de type « brut » ou « singulier »… Je vois seulement un magnifique et très personnel travail de composition, intelligent, ludique  et sensible, plein d’inventivité et de plaisir dans la mise en forme, entièrement dédié à la seule sublimation d’un matériau d’une grande richesse sensuelle, chargé certes fantasmatiquement par des années de macération au gré des courants marins, mais qu’il faut prendre pour ses qualités plastiques immédiates, pour sa beauté intrinsèque et non pour ses aventures passées.

Et c’est dans ce dépassement de l’histoire vécue des objets qu’elle assemble, dans leurs retrouvailles au bout d’un long voyage, sur une autre histoire, que la création de Caroline Secq est forte, distanciée et unique.
 »

Pierre Souchaud (journaliste, écrivain, artiste), 2018


Détour de mer, fortune de côte
Un chapeau noir égaré là, accroché pour l’éternité
À une patère de fortune,
Feutre las d’avoir vécu,
Béret d’une illusion.
Une trompe d’enfant, essoufflée là pour l’éternité,
Dérisoire corne de brume,
Muette d’avoir crié à cornecul,
Jouet d’une allusion.
Une automobile garée là, pendue pour l’éternité,
Entre cordage et poupée lune,
Épave blême d’avoir fondu,
Rejet d’une élision.
Tous ont nagé tant et plus qu’ils se sont échoués.
De la grève au tas, il n’y avait qu’un pas,
Un pas de coureur de rivage.
La laisse de mer embrasse au sable les objets dénaturés.
Les algues leur font une ultime parade.
Qui se rassemble, s’ensemble,
S’amasse, s’enlace,
Se tasse,
Se place.
Le tableau se fait de la défaite des choses.
De fait et cause pris en flagrant désir.
De bric et de broche,
De sac et de corde,
De vent et d’embruns,
De hasard et de choix,
D’aléa et d’aloi.
La couleur a du temps derrière elle.
Passé fané, passé présent,
Don de la mer, don de l’artiste.
Dodeline de ci de là,
Prend sa place et s’enracine,
Se camaïeu, se lutine,
Et s’épanouit dans un au-delà
De formes et de réalités
Transcendées.


Jean-Yves Méreau (écrivain, journaliste)



Objets détruits
Jouets cassés
Ça a vieilli,
C’est du passé
Tu les alignes com’ des harengs
Voir c’que ça donne, voir c’que ça rend
Tu les déranges, grands ou petits
Tu les mélanges, c’est du joli
P’têt que c’est rien, juste un machin
Mais quand c’est là, ça s’discute pas
Alors t’empiles, tu cloues, tu mixes
Tu visses, tu colles et puis tu fixes
Tout ça pourquoi ? Tout ça pour ça
Juste montrer ce qui se voit pas


Arnaud de Boisfleury (compositeur et musicien)

Affiche de l'exposition de Caroline Secq
Caroline Secq

Née à Lille, atelier dans les Landes.
Travaille les assemblages depuis 20 ans en utilisant exclusivement du matériau récupéré sur les plages et utilisé tel quel, brut, sans ajout, peinture ou transformation.
A vécu successivement et parfois simultanément à Lille, Toulouse, Clermont-Ferrand, Paris, Santa Barbara (USA), Bordeaux.

26 juin / 21 juillet : exposition Mathieu Sodore, OMEGA

Affiche de l'exposition Omega de Mathieu Sodore, peintures et dessins

L'exposition Omega présente des œuvres issues de diverses séries depuis 1991, ainsi que Cantaoras, série inédite de 2019 sur le flamenco.
Le titre de l'exposition rend hommage au chanteur Enrique Morente qui révolutionna le monde du flamenco avec l'album Omega en 1996, comme l'avait fait Camarón de la Isla en 1979 avec La leyenda del tiempo.
Ces deux opus ont en commun, entre autres, de mettre en musique des textes de Federico García Lorca, poète qui condense les passions récurrentes dans ma vie : littérature, flamenco, tauromachie...
Pour les traiter en peinture la démarche est toujours la même: jouer sur la fêlure, privilégier l'intensité, la singularité, la présence. Surtout, il s'agit davantage de poser des questions que d'y répondre.
Regarder le monde, inviter à réfléchir sont les préoccupations majeures de mon travail qui mêle matériaux du quotidien et techniques qui ne s’improvisent pas, mythologie personnelle et mythologie collective. Préoccupations qui s’accompagnent d’une volonté expressive: passion du dessin, liberté du geste, plaisir de faire.

Pas « d’effet de mode » donc mais la recherche d’une synthèse entre modernité et intemporalité du fait artistique, en somme une pratique contemporaine chargée de la responsabilité de son histoire.

Mathieu Sodore, avril 2019
exposition Omega - portrait de l'artiste Mathieu Sodore
Mathieu Sodore

Originaire du Sud-Ouest de la France, Mathieu Sodore est né le 13 juin 1962.
Après le collège et le lycée à Mont-de-Marsan, il étudie à la faculté d'arts
plastiques de Bordeaux (École des beaux-arts et Université de Bordeaux III).
Il y obtient une maîtrise en 1984 et un CAPES d'arts plastiques en 1985.

En juillet 2001 il s'installe au Portugal, à Lisbonne.

Mathieu Sodore commence à exposer dans les années 80Son travail à été depuis lors montré à de nombreuses reprises tant en France qu’à l’étranger.

En 2009, le cinéaste Floreal Peleato réalise un long-métrage documentaire intitulé La mano azul (La main bleue), consacré à la peinture de Mathieu Sodore. Projections du film en France, Espagne, Portugal, Mexique, Colombie, Allemagne, Chili, Bolivie, Maroc, Uruguay, Brésil et Japon.
En 2011, un chapitre est consacré à ce film dans l’ouvrage Biographies de peintres à l’écran, coordonné par Patricia-Laure Thivat, paru aux Presses universitaires de Rennes.
En 2018 Mathieu Sodore écrit un livre sur la création contemporaine à Lisbonne, Lisbonne, au coeur de la création contemporaine, pour une nouvelle collection de la maison d'édition Ateliers Henry Dougier. Le livre, paru le 28 mars 2019, présente 10 artistes majeurs et 100 lieux emblématiques de la ville, d'où le nom de la collection 10+100.
D’autres activités liées à l’art alternent avec sa peinture : enseignement, illustration d’ouvrages, réalisation d’affiches, conférences.
Il a également collaboré à divers journaux et revues et participé à l’élaboration de films, de spectacles musicaux et de pièces de théâtre.

Mathieu Sodore est représenté:
En France par la galerie Ô pêcheur de lune (Saint-Sever)
Au Portugal par la galerie Passevite (Lisbonne)

3 avril / 18 mai : exposition Loïc Guston, Stigmates et Entre-deux (photographies)

série "Stigmate" photographie Loïc Guston
Né en 1960, Loïc Guston est diplômé en histoire, pratique et théorie de l'art. Devenu professeur d’arts plastiques, il n’a cessé de développer son activité d'auteur dans le domaine photographique.
A ce jour, il a participé à diverses expositions en Galerie, ou lors d'évènements tels que le festival du photo reportage BarrObjectif, le Salon de la photographie contemporaine de Paris ou Les Rencontres de la photographie à Arles.

Par ailleurs, les magazines ou revues tels que Photo, L'Œil De La Photographie, 36p., Visions libres, Camera ou Eye-Photo ont diffusé ses images. Ses œuvres sont présentes dans des collections privées en France et au Japon.
Les œuvres photographiques présentées pour cette exposition invitent à un voyage à la fois spatial et temporel dans l'univers d'un artiste qui fait de la mémoire le véritable lieu du regard. C’est là que tout commence et que s’organise la vision qui est la sienne.

Entre-deux est une série datant de 2015. Elle avait pour objet le devenir d'un Jardin botanique parisien devant subir une profonde transformation suite à un projet immobilier. Ces images gardent le souvenir d'un site chargé d'histoire tout en révélant sa beauté mystérieuse.

La série Stigmate, initiée en 2017, est inédite. C'est une remontée dans le temps, celui d'une enfance douloureuse tant moralement que physiquement. Élaborée à partir d'un échange épistolaire, elle n'est en aucune façon un travail d’illustration mais bien l’interprétation sensible d'un vécu.

http://www.l-guston.com/

Exposition Bulles de jazz, dessins et illustrations de Christian Cailleaux

Boris Vian par Christian Cailleaux

8 février / 23 mars 2019

Le Théâtre des Lumières et le Centre d'art, dans le cadre de "jazz au Pôle", en partenariat avec Théâtre de Gascogne, invitent Christian Cailleaux, illustrateur, dessinateur.

Christian Cailleaux présente des planches de la BD Piscine Molitor consacrée à Boris Vian, ainsi que des grands formats sur cet auteur.
Il illustre également son amour du jazz par d'autres dessins, dont des pochettes de disques du label Cristal Records, et par sa participation à l'élaboration des affiches de "concert rêvé" du collectif Contrebande.


http://www.cailleaux.eu/


Les expositions au CAC depuis 1986 :


1986 : Ado Sato et Claude Viseux / Pablo Picasso et Jean Dubuffet / Robert Leris et Philippe Mohlitz / Eduardo Chillida
1987 : Yolande Fièvre et Françoise Lacampagne / « Identité anglaise » / « Dix Japonais » / « Sculptures Makondé » / « Gouaches et dessins contemporains »
1988 : « Hier Mont-de-Marsan » / Leroy-Norman-Matta / César Baldaccini, dit César et André Barelier / « Peintures populaires éthiopiennes » / Raphaël Lonné
1989 : « Création landaise contemporaine I » / Jean Clerté et Paul Duchein / Arnal-Viseux-Georges / Jean-Paul Chambas / « Art du Mithila » / « Paysages » (photographie)
1990 : Francesc Abad et Ildefonso Aguilar / Roman Opalka / Olivier Debré et J.Subirà–Puig / Gudmundur Gudmunsson, dit Erró et Vladimir Velickovic
1991 : « Création landaise contemporaine II » / Marc-Antoine Bissière, dit Louttre B. et Laure Latapie / « Les années amères de l'Amérique » (photographie) / « Peintures luxembourgeoises d'aujourd'hui »
1992 : « Regard sur les années 90 » / Antonio Ségui / Pierre Buraglio / Joan Miró / Roux (photographie)
1993 : « Création landaise contemporaine III » / Pablo Picasso / Jean Arp / « Hommage au jazz » (photographie)
1994 : « Collectionneurs landais d'art contemporain » / « 11 des Beaux-Arts de Paris » / Georges Braque / « Gravures de l'atelier Tanguy Garric » / « Art graphique espagnol contemporain »
1995 : Benjamin Vautier, dit Ben / Dominique Labauvie / « 4 Basques : Nuages et Nombres » / Axel Cassel / « Plazas de toros »

1996 : Mauro Benetti / Martine Mougin (photographie) / Jacques Lasserre / Malgorzata Paszko
1997 : Jofo / Albert Feraud (sculpture) / Jean-Pierre Rives (sculpture)
1998 : Ruudt Wackers / Jean Suzanne (sculpture) / Lydie Arickx / Alain Silly / « Marcel Saint-Martin présenté par ses amis »
1999 : Xavier Krebs / Dietrich Mohr / Dominique Jumelle / Elke Daemmrich / Michel Gaubert
2000 : Laurent Dubé / Jean-Charles Quillin / Luis Francisco Esplá
2001 : « Femmes d'Aquitaine » (Kiki Dauta, Annie Lauras, Rosemarie Camarra, Patricia Mangin-Francis) / Fred Bourguignon / Paul Belmondo / Alain Alquier
2002 : Ben-Ami Koller / « Musées Maisons de Roland Shön » / Claude Viseux / Aristide Caillaud
2003 : Jean-Pierre Dall'Anese (sculpture) / « Parcours » (jeunes plasticiens des Beaux-Arts) / Jean-Claude Dutertre / Yvon Aubinel
2004 : Henri Guibal / Martine Chenais (photographie) / Robert Combas / Rémi Trotereau (sculpture)
2005 : Alain Lestié / Gérard Auban / Christiane Giraud (sculpture) / « Le Nu » (28 artistes) / « Mont-de-Marsan Sculptures » / Jean-Pierre Latappy
2006 : François Lunven / Félix Anaut / « 20 ans avec 20 jeunes artistes » / Claude Couffin / « Petits formats » (17 artistes)
2007 : Jean-Luc Labat / Marc Giai-Miniet / Lydie Arickx / Michel Wohlfahrt / « Petits formats »
2008 : Michel Tyszblat / Hans Bouman / « Figuration de l’imaginaire, autour de Pat Andréa » / Marc Petit
2009 : Martine Pinsolle et Aïtor Mendizabal / Sanfourche / « Le Noir absolu et les leçons de ténèbres » / Buraglio-Garcia-Brouillon
2010 : Joël Crespin / Maarten Stuer / Gudmundur Gudmunsson, dit Erró / Patrick Grabet
2011 : Alain Bergeon et Robert Keramsi / Ben-Ami Koller / Jean-Paul Chambas / « Artistes aborigènes australiens »
2012 : Yvon Taillandier / Jean Rustin / Konrad Loder / « Melting point »
2013 : collection Céres Franco / Albert Bitran / Malgorzata Paszko et Martine Chenais
2014 : « La Création franche » / Abraham Hadad / « Création landaise contemporaine IV »
2015 : Daniel Humair / Frédéric Blaimont / Stani Nitkowski / « Au-delà des racines »
2016 : Nazanin Pouyandeh / Jean-Pierre Ugarte / Serge Labégorre / « La collection sort de sa réserve »
2017 : Jofo / Fausto Olivares
2018 : Elena Peinado et Blandine Galtier / Gertrud Varailhon / Jean-Louis Duzert / Patrick Dupouy-Bataille / « La Forme affectée » : Fanny Longuesserre, Samuel Trenquier et Fabrice Croux / rétrospective Cel le Gaucher


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